Josie Rigal, Kinésithérapeute Ostéopathe

Vous accueille dans son cabinet sur Montpellier, quartier Boutonnet et à Jacou

portrait josiane rigal

De l'éducation physique et sportive à la kinésithérapie...

Exercer en tant que kinésithérapeute ostéopathe n’était pas ma première ambition. Après le bac je me destinais à devenir professeure d’éducation physique.

Mais à la suite de plusieurs blessures, j’ai dû me résigner à abandonner cette voie.  

C’est lors de ma rééducation, au contact de professionnels de santé, et tout particulièrement d’un kinésithérapeute ostéopathe, que j’ai découvert ma nouvelle orientation dans le domaine médical. 

C’était finalement, la combinaison idéale des sciences et du sport.

Ma formation...

 

Après ma première année de médecine j’ai passé 6 mois en école d’infirmière où je préparais en parallèle le concours de Kinésithérapeute. Concours pour lequel j’ai été reçue major de promo ex aequo en 1978.

J’ai étudié pendant 3 ans à l’école de kinésithérapie de Montpellier.

Au terme de mes études, il n’était alors pas facile de trouver un poste en hôpital. C’est grâce au soutient de mes parents que j’ai pu acquérir mon premier local professionnel et développer mon cabinet.

Malgré des facilités tout au long de mes études, j’ai rapidement ressenti mes lacunes et un malaise face au désarroi de certains de mes patients, je me sentait parfois impuissante face à leur problèmes et pathologies.

J’ai donc décidé d’entamer une thérapie personnelle, de faire d’abord un travail sur moi et d’apprendre à me connaître pour ensuite être capable d’apporter à mes patients la meilleure des prises en charge.

On oublie trop souvent que la plupart des pathologies touchent aussi bien le physique que le mental de la personne, il me paraissait alors primordial de consolider le mien.

Toujours dans une recherche d’amélioration de ma pratique de la santé, j’ai entamé une formation à la méthode Mézière, puis une formation en Ostéopathie sur 6 ans, que j’actualise chaque année avec des stages de perfectionnement.

Enfin, il y a quelques années, j’ai suivi une formation diplômante à l’école du dos.

J’exerce an combinant les différentes connaissances acquises avec la méthode Mézière et l’ostéopathie.

Je pratique des méthodes douces (pas de manipulations intempestives ou violentes), dites fasciales (travail des fascias) pour remettre en place une articulation ou une vertèbre. 

Parfois il faut plusieurs séances, et c’est à force de redonner de l’élasticité aux structures fasciales que l’on parvient à traiter complètement le patient. A l’inverse, une manipulation purement structurelle, qui ne tient pas compte des lésions tendineuses ou musculaires encore présentes ne règle pas le problème, la douleur fini par réapparaitre peu de temps après.

Je termine le plus souvent par des techniques crânienne pour faire lâcher petit à petit les dernières résistances et la douleur qui accompagne la pathologie.

 

L’école du dos promeut une méthode de soins par le mouvement pour soulager et prévenir les problèmes de dos.

L’intérêt de cette méthode c’est de rendre le patient acteur de sa santé sur le long terme, en alliant soins individuels et cours collectifs de  gymnastique. Au travers de ces cours, il va pouvoir entretenir la mobilité articulaire, la souplesse de son corps  (colonne vertébrale, hanches, genoux, chevilles, épaules, coude) et maintenir ou retrouver une tonicité musculaire grâce à des exercices de renforcement.

A la différence du Pilate, il s’agit d’une méthode enseignée à des professionnels de santé, qui connaissent bien les différentes pathologies (exemple : périarthrite, scapulohumérale, spondylarthrite, hernie discale…). Nous avons donc la capacité de personnaliser les exercices dans le but d’éviter la rechute et de maintenir l’état de non douleur et de bien-être du patient.